Artistes : de M à O

Exposition Georges MATHIEU - Geste, vitesse, mouvement -

"Le père de l'Abstraction lyrique s'expose à la Monnaie de Paris ! l'établissement culturelle accueille une rétrospective dédiée à Georges Mathieu, en partenariat avec le Centre Pompidou, du 11 avril au 7 septembre 2025. Une exposition formelle et structurée pour redécouvrir l’œuvre de cet artiste emblématique de l’abstraction lyrique.

Il était connu pour avoir conçu des pièces de 10 francs, le logo d'Antenne 2 ou encore le trophée des 7 d'or... La Monnaie de Paris, en collaboration avec le Centre Pompidou, consacre une exposition à Georges Mathieu, figure clé de l’abstraction lyrique, du 11 avril au 7 septembre 2025. L’exposition, qui se tient dans les salons historiques de l’institution, met en lumière le parcours artistique de l'artiste, à travers une sélection de peintures, de médailles et de créations appliquées. L’occasion de revisiter une œuvre qui a marqué l’histoire de l’art contemporain.

Georges Mathieu, né en 1920 à Boulogne-sur-Mer et décédé en 2012 à Boulogne-Billancourt, a collaboré avec la Monnaie de Paris dès 1967. En 1971, il y présentait déjà ses « Médailles et Peintures », à l’invitation de Pierre Dehaye. Parmi ses réalisations, la série de médailles intitulée Dix-huit moments de la conscience occidentale reste une œuvre notable, avec des designs mêlant abstraction lyrique et formes irrégulières. L’artiste déclarait que ce support représentait pour lui une éminente « synthèse d’art et d’histoire ».

Cette rétrospective réunit une quarantaine de peintures au total, dont le fonds Mathieu du Centre Pompidou, ainsi que des œuvres sur papier, des médailles et d’autres créations. Parmi elles, la pièce de 10 francs, emblématique et largement diffusée entre 1974 et 1987, témoigne de l’impact de l’artiste sur l’environnement visuel de son époque.

« Aucun autre peintre, à aucune époque, n'a autant marqué l'environnement visuel de ses contemporains », souligne la Monnaie de Paris. Une exposition qui s’attache à dévoiler les multiples facettes de cette œuvre prolifique."

Cliquez sur l'image pour voir cette exposition d'un artiste notamment très connu dans les années 1970-1980

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Exposition MONET-MITCHELL

"Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023, la Fondation Louis Vuitton à Paris crée un dialogue sensible inédit entre l’œuvre de Joan Mitchell (1925-1992), l’une des plus grandes peintres américaines du XX^e siècle, et les toiles la dernière période de Claude Monet (1914-1926). Fruit d’un partenariat avec le Musée Marmottan Monet, l’exposition « Monet-Mitchell » est présentée en parallèle d’une rétrospective sur Joan Mitchell qui permettra la découverte de son œuvre par le public français et européen.

Les Nymphéas trouvent une nouvelle consécration aux États-Unis dans les années 1950, où le travail du dernier Monet est regardé comme précurseurs de l’abstraction par les peintres de l’Expressionnisme abstrait. Dans ce contexte dit du « Monet Revival », Joan Mitchell participe en 1957 et 1958 à des expositions consacrées à la notion d’ « impressionnisme abstrait ». Dix ans plus tard, l’artiste s’installe à Vétheuil (Val-d’Oise) dans une propriété proche de celle où vécut Monet de 1878 à 1881.
Le dernier Monet restitue à l’atelier la persistance visuelle de motifs longuement observés devant les nymphéas de Giverny ; Joan Mitchell explore quant à elle ses « feelings » – perceptions vives par-delà l’espace et le temps – à travers le filtre de ses mémoires croisées."

On se régale ici des peintures de Claude Monet de sa période Nymphéas. Ces expositions regroupent 36 œuvres de l’artiste français et 80 de l’artiste américaine.

Cliquez sur l'image pour voir cette exposition où ces oeuvres imposantes explosent de couleurs devant nos yeux.

Exposition MONET collectionneur

Du 14 septembre 2017 au 14 janvier 2018 le Musée Marmottan Monet propose une exposition dont le but est de tenter de reconstituer la collection personnelle du chef de file de l’impressionnisme, en partie dispersée à sa mort et tombée depuis dans l’oubli.

Cette collection personnelle, Claude Monet l’a conçue avec une immense attention, sélectionnant chaque œuvre, prenant soin des tableaux offerts par ses amis artistes ou achetés par ses soins. Il n’hésita pas notamment à débourser d’importantes sommes pour acquérir des œuvres majeures de Renoir ou de Cézanne

« Vous vous étonnez de ne voir chez moi que ma peinture et mes estampes japonaises ? Et pourtant, j’ai aussi ma collection. […] Seulement, je suis égoïste. Ma collection est pour moi… et pour quelques amis. […] Venez la voir ». Cette citation, ressemblant fortement à une invitation, on la doit donc à Claude Monet qui avait bien sa collection privée qu’il ne montrait qu’à certains "chanceux".

Ce travail de longue haleine approfondi de reconstitution, proposé par les deux commissaires de l’exposition, Marianne Mathieu et Dominique Lobstein nous permet aussi de voir sous un autre jour l’artiste Monet et l’histoire de ces acquisitions qui en disent long sur le personnage. Au total, une centaine d’œuvres venant des quatre coins du monde.

Voici un document présentant la photo de la plus grande partie des oeuvres de cette exposition.

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Exposition Berthe MORISOT

Le musée d'Orsay consacre une exposition du 18 juin au 22 septembre 2019 à Berthe Morisot la première femme impressionniste dans ce courant artistique et ce dès 1874.

Figure majeure de l'impressionnisme, Berthe Morisot reste aujourd'hui moins connue que ses amis Monet, Degas ou Renoir. Elle avait pourtant été immédiatement reconnue comme l'une des artistes les plus novatrices du groupe.

L'exposition retrace le parcours exceptionnel de cette peintre à travers plus de 60 tableaux, entre portraits et scènes de la vie quotidienne. Peindre d'après modèle permet à Berthe Morisot d'explorer plusieurs thématiques de la vie moderne, telles que l'intimité de la vie bourgeoise, le goût de la villégiature et des jardins, l'importance de la mode, le travail domestique féminin, tout en brouillant les frontières entre intérieur/extérieur, privé/public, fini/non fini. Pour elle, la peinture doit s'efforcer de "fixer quelque chose de ce qui passe".

On (re)découvre une femme qui vit à l'inverse des usages de son temps et qui choisit la vie de l'avant-garde Parisienne dans les années 1860 et devient le témoin de la vie bourgeoise, des loisirs naissants, de la mode parisienne et des activités de la vie moderne, qu'elle soit publique ou privée.

Cliquez sur l'image pour voir cette exposition avec la chance de voir beaucoup de tableaux provenant de collections particulières

Exposition MUCHA

Le Musée du Luxembourg consacre une exposition du 12 septembre 2018 au 27 janvier 2019 à un artiste, Alphonse MUCHA, que beaucoup connaissent pour avoir déjà vu une affiche, une illustration ou encore une carte postale représentant une femme élancée à la longue chevelure flottante entourée de fleurs, de végétaux, de pierres précieuses ? Le style élégant de Mucha est reconnaissable au premier abord.

"Né en 1860 en Moravie (aujourd'hui la République tchèque, Alfonse Mucha débarque à Paris à l'âge de 20 ans. Il s'illustre alors dans de multiples domaines des arts graphiques : affiches, joaillerie, décoration de théâtre et d'intérieurs, illustration de livres, affiches de théâtre, sculpture… Par excellence, il personnifie l'Art nouveau. Une expression qu'il n'aimait pas particulièrement. Il avait l'habitude de dire qu'il faisait cela à sa manière

On connaît moins le travail qui l’a révélé en 1895, sa première commande : l’affiche de Gismonda, une pièce jouée par Sarah Bernhardt, hiératique dans un décor de mosaïques byzantines. Et on connaît encore moins l’auteur de motifs ornementaux, de bijoux et d’objets, le décorateur de la boutique du joaillier Fouquet, rue Royale. Toutes ces facettes sont ici enfin mises en lumière.

De 1911 à 1926, retourné dans son pays natal, il se consacre à son grand œuvre, L’Epopée slave, un cycle de vingt toiles géantes."

Cliquez sur l'image pour voir cette exposition et découvrir d'autres aspects plus méconus de cet artiste.

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A.B.D.D (Arts Ba Dis Donc) dernière mise à jour : 03/08/2025

H.B.D.D (Ha Ba Dis Donc) (photos sur flickr)